
Il faut sauver le soldat Maya
L'auteure expose l'importance des abeilles pour l'écosystème et enquête sur leur éradication par les pesticides, les prédateurs ou le changement climatique.
154 pages
Format : 14,5 x 21,5 cm
Auteur : Cécile Cazenave

D54-34
Dans l’espace très restreint de sa cour arrière transformé en jardin foisonnant, Geneviève Boudreau se fait sensible à ce qui s’agite sans bruit, mouvements d’ailes et de feuillages ouvrant l’accès à un vaste domaine intérieur où s’enracine le poème.
Avec Une abeille suffit , l’autrice nous rappelle que faire un jardin est une forme d’engagement...
Auteure : Geneviève Boudreau
152 pages
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"Une abeille suffit : Carnet d’observation d’un jardin urbain" de Geneviève Boudreau est un recueil poétique où l’auteure observe la vie foisonnante d’un jardin urbain. Dans l’espace restreint de sa cour arrière, elle capte les mouvements d’insectes et de feuillages pour ouvrir une réflexion intime sur l’importance des petits êtres souvent invisibles. Ce carnet rappelle que chaque jardin est un lieu d’engagement et de préservation de la biodiversité.
Avec une sensibilité particulière, Geneviève Boudreau nous invite à repenser notre relation avec la nature, même dans un espace urbain. Le jardin devient ici un lieu de résistance et de réparation, un espace où la beauté humble des insectes comme les abeilles prend toute son importance. À travers ses observations et ses poèmes, l’auteure explore la richesse de la biodiversité souvent négligée, et nous incite à protéger ces vies minuscules.
Publié par les Éditions du Noroît, ce livre illustré par 12 dessins de l’auteure est un hommage à la biodiversité urbaine. "Une abeille suffit" est un recueil essentiel pour ceux qui souhaitent réfléchir à la préservation de la nature, que ce soit à travers un jardin ou par l’acte de nommer les choses précieuses et en voie de disparition.
J’apprends à servir plus petit et plus grand que moi, des existences brèves et sans nombre. La vie d’un insecte (ou celle d’une fleur) est tellement éphémère qu’elle me semble à peine s’inscrire dans le monde. Pourtant, chaque vie minuscule ouvre une brèche vers un ailleurs, une autre dimension où naître et mourir ne signifient rien.. Plus cette vie est restreinte, plus la brèche est grande.. Tant que le ciel le surplombe, le jardin, aussi petit soit-il, forme un domaine encore trop vaste pour moi..
Fiche technique